Titre : |
Éclairs lointains : percée à Stalingrad |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Heinrich Gerlach (1908-1991), Auteur ; Corinna Gepner, Traducteur ; Carsten Gansel (1955-....), Préfacier, etc. |
Editeur : |
Paris : Le Livre de poche |
Année de publication : |
DL 2019 |
Collection : |
Le Livre de poche, ISSN 0248-3653 num. 35470 |
Importance : |
1 vol. (852 p.) |
Format : |
18 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-253-07096-2 |
Prix : |
9,90 EUR |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Allemand (ger) |
Index. décimale : |
8.7 Romans étrangers |
Résumé : |
Écrit par un officier allemand prisonnier des Soviétiques, Éclairs lointains retrace l'enfer du chaudron de Stalingrad vu à hauteur d'homme - l'ennemi n'étant pas seulement les terribles orgues de Staline, mais aussi le froid, la faim, la décrépitude physique, la démoralisation, la perte de tout sentiment humain.Nous plongeant à la fois dans l'histoire immédiate - celle du nazisme et de ses conséquences désastreuses -, et dans l'histoire universelle, Heinrich Gerlach nous fait vivre de l'intérieur l'absurdité et l'inanité de la guerre. De sa propre expérience et de ce que de ses compagnons de captivité lui ont raconté, il tire, avec un talent exceptionnel, une « fiction » âpre, bouleversante de réalisme, de rudesse et de tendresse mêlées.
Un livre qui, par sa puissance et sa profondeur, brille d'un éclat unique. Le Figaro littéraire.
Tout, dans la genèse et le destin de ce texte, flirte avec l'extraordinaire. Le Point. |
Éclairs lointains : percée à Stalingrad [texte imprimé] / Heinrich Gerlach (1908-1991), Auteur ; Corinna Gepner, Traducteur ; Carsten Gansel (1955-....), Préfacier, etc. . - Paris : Le Livre de poche, DL 2019 . - 1 vol. (852 p.) ; 18 cm. - ( Le Livre de poche, ISSN 0248-3653; 35470) . ISBN : 978-2-253-07096-2 : 9,90 EUR Langues : Français ( fre) Langues originales : Allemand ( ger)
Index. décimale : |
8.7 Romans étrangers |
Résumé : |
Écrit par un officier allemand prisonnier des Soviétiques, Éclairs lointains retrace l'enfer du chaudron de Stalingrad vu à hauteur d'homme - l'ennemi n'étant pas seulement les terribles orgues de Staline, mais aussi le froid, la faim, la décrépitude physique, la démoralisation, la perte de tout sentiment humain.Nous plongeant à la fois dans l'histoire immédiate - celle du nazisme et de ses conséquences désastreuses -, et dans l'histoire universelle, Heinrich Gerlach nous fait vivre de l'intérieur l'absurdité et l'inanité de la guerre. De sa propre expérience et de ce que de ses compagnons de captivité lui ont raconté, il tire, avec un talent exceptionnel, une « fiction » âpre, bouleversante de réalisme, de rudesse et de tendresse mêlées.
Un livre qui, par sa puissance et sa profondeur, brille d'un éclat unique. Le Figaro littéraire.
Tout, dans la genèse et le destin de ce texte, flirte avec l'extraordinaire. Le Point. |
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