Titre : |
Voyages de Gulliver |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jonathan Swift (1667-1745), Auteur ; Jacques Pons (1922-....), Éditeur scientifique ; émile Pons, Éditeur scientifique ; Maurice Pons (1927-....), Préfacier, etc. |
Editeur : |
[Paris] : Gallimard |
Année de publication : |
1976 |
Autre Editeur : |
18-Saint-Amand : impr. Bussière |
Collection : |
Collection Folio, ISSN 0768-0732 num. 597 |
Importance : |
443 p. |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
Format : |
18 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-07-036597-5 |
Prix : |
10 F |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) |
Index. décimale : |
8.7 Romans étrangers |
Résumé : |
Les filles d'honneur invitaient souvent Glumdalclitch dans leurs appartements, et lui demandaient de m'apporter pour qu'elles aient le plaisir de me voir et de me toucher. Souvent, elles me mettaient nu comme un ver et me glissaient tout entier entre leurs seins, ce qui me dégoûtait fort, car, à dire vrai, il s'exhalait de leur peau une odeur très âcre... Elles n'avaient point de scrupule non plus à se soulager devant moi des liquides qu'elles avaient bus : c'est-à-dire d'au moins la valeur de deux barriques, dans des récipients qui jaugeaient trois tonneaux. La plus jolie des filles d'honneur, une plaisante luronne de seize ans, s'amusait parfois à me mettre à cheval sur la pointe de son sein, ou à d'autres petits jeux, que le lecteur voudra bien me pardonner de passer sous silence... |
Voyages de Gulliver [texte imprimé] / Jonathan Swift (1667-1745), Auteur ; Jacques Pons (1922-....), Éditeur scientifique ; émile Pons, Éditeur scientifique ; Maurice Pons (1927-....), Préfacier, etc. . - [Paris] : Gallimard : 18-Saint-Amand : impr. Bussière, 1976 . - 443 p. : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - ( Collection Folio, ISSN 0768-0732; 597) . ISBN : 978-2-07-036597-5 : 10 F Langues : Français ( fre) Langues originales : Anglais ( eng)
Index. décimale : |
8.7 Romans étrangers |
Résumé : |
Les filles d'honneur invitaient souvent Glumdalclitch dans leurs appartements, et lui demandaient de m'apporter pour qu'elles aient le plaisir de me voir et de me toucher. Souvent, elles me mettaient nu comme un ver et me glissaient tout entier entre leurs seins, ce qui me dégoûtait fort, car, à dire vrai, il s'exhalait de leur peau une odeur très âcre... Elles n'avaient point de scrupule non plus à se soulager devant moi des liquides qu'elles avaient bus : c'est-à-dire d'au moins la valeur de deux barriques, dans des récipients qui jaugeaient trois tonneaux. La plus jolie des filles d'honneur, une plaisante luronne de seize ans, s'amusait parfois à me mettre à cheval sur la pointe de son sein, ou à d'autres petits jeux, que le lecteur voudra bien me pardonner de passer sous silence... |
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